Un été a fermer

Pas sure que mon franglais passe très bien... Ca fonctionne en anglais, to farm. J'aime bien le double sens en français.

Les premières tomates et poivrons pointent le bout de leurs nez.


On a eu des bébés hier. Huit exactement.


  Gruik.


On a des matinées brumeuses, dont j'ai peu de photos. Bizarrement je suis moyen inspirée pour en prendre à 6h du mat quand j'enfourche mon vélo pour rejoindre la ferme et prendre mon petit dèj.


On accroche de l'ail, beaucoup beaucoup et on a les mains qui fleurent bon.


Parfois on ne voit pas les montagnes, mais ça n'est pas très grave. Ca permet de respirer un peu.



Parfois on va en ville. Trois magasins, deux restaurants, un café, une bibliothèque et beaucoup de magasins agricoles.




Le soir on a de belles lumieres. Et la montagne devient rouge. Ce soir là ça tirait sur le rose.




On a eu une fête d'anniversaire pour Even, cinq ans. Je me suis fait une joie d'accrocher des ballons et de faire un gâteau, parce que j'adore les anniversaires. J'étais presque aussi excitée qu'elle.




Je deviens experte en pelage d'ail. Quand on pense qu'ils vendent leur gousses entre 1 et 3 dollars, ça fait des sous...


On a des animaux en liberté un peu partout. Du coup c'est périlleux de marcher pieds nus dans le jardin, mais bon ayant cassé mes flip-flop je continue. (Je n'ai pas remis de Crocs, promis juré.)



Bref tout va bien. Il fait très chaud, contrairement à l'image que renvoie mes photos, prises quasiment toutes durant cette journée orageuse. Si je pouvais passer mes après-midi dans la rivière... En fait c'est un peu ce que je fais. J'y vais là d'ailleurs. A tantôt.

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire